Le groupe Bolloré est omniprésent. Il n’est pas évident de passer une journée sans une interaction avec une entreprise membre de ce royaume. CNews, Europe 1 ou le JDD sont les vitrines d’un empire médiatique beaucoup plus vaste.
Le groupe Bolloré est omniprésent. Il n’est pas évident de passer une journée sans une interaction avec une entreprise membre de ce royaume. CNews, Europe 1 ou le JDD sont les vitrines d’un empire médiatique beaucoup plus vaste.
Dans l’ouvrage collectif Habiter sans posséder, Aurélien Berlan propose une analyse éclairante du concept de propriété, nous aidant à comprendre où se situe la clé du problème contemporain à ce sujet. Sa réflexion sur le foncier s’applique tout autant au bâti. Elle ouvre la voie à des initiatives telles que le fonds de dotation Antidote, présenté dans les pages qui suivent. Extraits.
Qui sont ces parasites ? La grande bourgeoisie qui domine le monde et la petite bourgeoisie qui lui est servile. L’auteur en fait une analyse pertinente et bien sourcée en déconstruisant le langage des médias officiels à ses ordres, les récits d’hommes qui se seraient « faits tout seuls », la fausseté (...)
Sur le front du Covid, les mesures d’enfermement, couplées à la stratégie du tout numérique, ont été délétères pour les populations exposées aux formes graves de la maladie. Dans les EHPAD, les personnes ont été abandonnées, avec des taux records d’infection et de mortalité. Sur le front des maladies (...)
Véritable somme sur le sujet, ce livre explore le terme de non-violence, inventé il y a un siècle par Gandhi, à travers son histoire, ses utilisations et les multiples sens qu’il recèle. Il aborde sa préhistoire avec les termes de « non-résistance » puis de « résistance passive », puis ses racines dans (...)
Alexis Robert est un fidèle soutien et relai local de Silence en Bretagne depuis le début, et il vit dans un écolieu dans la forêt de Brocéliande qui a accueilli un grand nombre d’alternatives et de luttes. Le premier de ces deux petits livres est autobiographique, le second… aussi, dans la mesure où (...)
Les auteurs opposent, au choix de ne pas procréer pour des raisons écologistes, plusieurs arguments et questionnements. Ils rappellent que la contribution aux émissions de gaz à effet de serre varie de 1 à 1 000 selon notre niveau de richesse. Qu’on peut jouer sur de nombreux autres facteurs que la (...)
Pas loin de 70 contributions pour aborder les grandes questions écologistes avec comme axe central de faire le lien avec le social. Ce sont surtout des universitaires qui s’expriment et cela regorge de données précises et de questions intéressantes. La conclusion montre bien les difficultés que l’on (...)
Infirmière en unité de soins palliatifs, Catherine Bouissou voit sa vie basculer en 2021 lorsqu’elle refuse de se faire vacciner contre le Covid. À jour de tous ses autres vaccins, elle refuse de prêter son corps à un traitement encore en phase de test. Elle est alors suspendue de ses fonctions et (...)
Ce grand livre généreusement illustré rassemble les nombreux tomes déjà parus au long des années de la série « Increvables anarchistes », qui retrace l’histoire du mouvement anarchiste de ses débuts à aujourd’hui. Ce volume démarre avec les prémices de l’anarchisme au 19e siècle, et s’arrête en 1968. Chaque (...)
Le concept de transition écologique a pris le relais de celui de développement durable dans les discours politiques et économiques dominants. Il a pour effet de jeter de la poudre aux yeux pour masquer les pratiques du capitalisme technologique. Ce texte en formule une critique bienvenue.
L’Anthropocène, « l’âge de l’humain », serait la période au cours de laquelle l’humanité serait devenue le principal moteur des changements affectant les systèmes terrestres. Alors qu’une vision scientiste laisse supposer que l’ère de l’anthropocène est celle de la toute puissance de la technique sur la nature, Anne Frémaux, philosophe, interroge cette évidence et met en avant l’absence de maîtrise de l’humain sur le vivant.
Vous lisez cet article après la COP24 qui s’est tenue à Katovice en Pologne en décembre 2018. Ce texte a été rédigé en novembre dernier après le succès des marches pour le climat. C’est un appel à la convergence des luttes climatiques et décoloniales.