Dans les années 1960-70, Hélène Vincentini vivait déjà dans un lieu d’alternatives à la psychiatrie, engagé contre le racisme et accueillant, entre autres, des Algériens marqués par la guerre d’Algérie. Elle a poursuivi jusqu’à aujourd’hui son engagement et nous livre son expérience depuis sa place de « blanche » dans la lutte anticoloniale.