La question du genre est de plus en plus évoquée dans les programmes de l’Education nationale. Nous avons interrogé ceux et celles qui agissent dans le domaine de l’éducation alternative sur leurs pratiques en ce domaine.
La question du genre est de plus en plus évoquée dans les programmes de l’Education nationale. Nous avons interrogé ceux et celles qui agissent dans le domaine de l’éducation alternative sur leurs pratiques en ce domaine.
Dans l’école, garçons et filles se côtoient, s’opposent, plaisantent, se séduisent, se harcèlent et s’insultent… Travaillent-ils ensemble ? À peine. Ont-ils conscience des stéréotypes de sexes qui traversent l’école et entrainent des inégalités ? Souvent pas plus que leurs enseignant·e·s.
En novembre 2015, Silence a publié une grande affiche couleur intitulée « 100 dates qui construisent nos luttes féministes aujourd’hui ». Chaque mois, cette chronique permet de revisiter une date du féminisme.
En novembre 2015, Silence a publié une grande affiche couleur intitulée « 100 dates qui construisent nos luttes féministes aujourd’hui ». Chaque mois, cette chronique permet de revisiter une date du féminisme.
En novembre 2015, Silence a publié une grande affiche couleur intitulée « 100 dates qui construisent nos luttes féministes aujourd’hui ». Chaque mois, cette chronique permet de revisiter une date du féminisme.
Puisque l’ONU l’avait décrété, c’était sans doute vrai, 1975 serait « l’année internationale de la femme ». Il s’agissait pour les institutions de canaliser ce qui bouillonnait un peu partout en Occident et ailleurs dans les différents mouvements de femmes. Les Islandaises ont dû se dire : « année de la femme, chiche ! »
Malgré la faible présence de l’écoféminisme aujourd’hui en France, les points communs entre le combat écologique et les féministes ont fait partie des préoccupations des féminismes français dès leurs débuts.
Allier féminisme et décroissance implique de concilier des exigences qui paraissent à première vue contradictoires : comment accommoder la recherche féministe de l’égalité salariale avec la critique antiproductiviste du salariat ? La revendication de l’accès des femmes au travail productif avec la valorisation, par la pensée décroissante, du travail non marchand ? Un dossier de la revue Moins ! consacré au genre et à la décroissance (1), fait un intéressant tour d’horizon de ces questions.
Les jeunes iraniennes n’en peuvent plus du régime islamique. Raya, jeune fille intellectuelle, homosexuelle et punk, brave les interdits : drogue, sexe, musique… Elle retrouve d’autres jeunes LGBT qui rêvent de changer la société. La BD retrace les quelques années qui ont précédé la révolte « Femme, Vie, Liberté » qui a éclaté après la mort de Mahsa Amini, en septembre 2022. Si le personnage est fictif, le contexte est bien réel : la coupure marquée entre les barbus et les jeunes. Les mollahs ont repris la main depuis, mais cela n’est sans doute que provisoire tant la jeunesse du pays n’en peut plus. FV.
Éd. Marabulles, 2024, 144 p. 24 €.
Permettre à tou·tes de se réapproprier le pouvoir sur leurs corps face à la toute-puissance du système médical, c’est ce à quoi œuvre le collectif Gynepunk.
Juin 1975. Des prostituées lyonnaises occupent l’église Saint-Nizier pour réclamer la fin du harcèlement policier qu’elles subissent au quotidien et des injustices fiscales à leur égard. Elles déroulent une banderole sur l’église : « Nos enfants ne veulent pas leur mère en prison ». « Nous sortirons de (...)
Les rencontres Glamort proposent de penser et de s’emparer de la mort d’un point de vue queer (1). Les vécus queers entraînent en effet un rapport spécifique à la mort : plus forte exposition à des morts jeunes et violentes (SIDA, violences homophobes et transphobes, suicides…), ruptures familiales, héritage ancestral de figures persécutées ou inspirantes, etc.
Depuis 10 ans, Les EnChantières proposent à Montreuil, en Seine-Saint-Denis, des ateliers pédagogiques sur les savoirs du bâtiment ainsi que des chantiers participatifs à destination des femmes. Une voie d’émancipation, tant pour les artisanes de profession que pour toute une chacune.
Dès 1949, à la suite de la “Nakba” (la “catastrophe”), l’extension d’Israël a réduit la Palestine à 23 % de son territoire initial et contraint plus de 700 000 Palestinien·nes à l’exil. Le récit national israélien a fait de la Palestine une "terre sans peuple". Depuis, la colonisation des corps et du territoire se poursuivent, atteignant depuis octobre 2023 une apogée.
Se représentant dans quelques années en vieille fille à chat dans un Ehpad féministe autogéré, Isa réagit aux propos misogynes de toutes sortes avec un humour formidable. Elle raconte à ses petits-neveux comment est mort le patriarcat avec forces anecdotes reliées à l’actualité récente. L’avertissement (...)
À la fin du 19e siècle, Jeanne Chauvin réussit à s’inscrire en faculté de droit. Brillante, elle obtient ses diplômes, mais va devoir encore batailler pendant longtemps avant de pouvoir être avocate. Avec l’aide de groupes féministes et de son frère, élu socialiste, elle va franchir les obstacles. Elle (...)
Rencontre débat avec la revue Silence à la librairie La Gryffe (Lyon 7) le samedi 11 janvier à 15h.
Suite à la troisième rencontre de l’Assemblée féministe transnationale qui s’est tenue le 27 janvier 2024 à l’EHESS à Aubervilliers, ce réseau d’auto-éducation féministe tisse une toile de solidarités dont l’entraide et la lutte se veulent être les fers de lance contre l’impérialisme.
Alors que le patriarcat sévit en Europe et se matérialise par de nombreux féminicides chaque année, l’Espagne avance sur ses questions.
Adapter nos rythmes de travail aux variations des corps, aux variations hormonales des femmes en particulier, devrait nous inspirer pour ralentir et décroître. Afin d’aligner nos exigences sociales aux cycles du vivant en général.
Reportage dans l’Hérault, à Azillanet, à la découverte d’un chantier écoféministe. Un groupe de femmes, dont certaines vivent dans le village, ont investi un ancien couvent pour quelques jours de chantier sous la bannière de Reprises de savoirs.
Se répartir le travail de subsistance pour éviter d’exploiter les femmes et les paysan·nes ? Telle est la proposition des féministes de la subsistance. Entretien avec Geneviève Pruvost, sociologue du travail et du genre.
Dans le monde, la situation des femmes qui avortent est très différente d’un endroit à l’autre, de la légalité à l’interdiction totale, en passant par de nombreuses situations intermédiaires.
Capire, l’Assemblée internationale des peuples et le Forum des peuples ont appelé les artistes féministes à (...)
Contrairement aux idées reçues, les femmes sont aussi nombreuses que les hommes à prendre le chemin de la migration. Cependant, le fait d’être femme conditionne l’expérience de la migration, car partout, le capitalisme patriarcal est source d’oppression pour celles-ci.
Medea Benjamin, une des grandes figures du pacifisme aux États-Unis, déploie avec son mouvement Code Pink une énergie créative pour combattre les projets guerriers de la première puissance militaire au monde. Entretien.