Avec le scénario Afterres2050, on passe des belles intentions à des chiffres concrets. Voici un outil chiffré qui balise une transition rapide vers un système alimentaire viable à l’échelle de la France.
Avec le scénario Afterres2050, on passe des belles intentions à des chiffres concrets. Voici un outil chiffré qui balise une transition rapide vers un système alimentaire viable à l’échelle de la France.
Après 40 jours d’affrontements, 2013 voit l’occupation de Notre-Dame-des-Landes se développer. Plusieurs centaines de personnes vivent désormais sur place. La lutte contre les grands projets inutiles s’intensifie. Retour sur la vie de la rédaction de Silence cette année-là.
En 2012, Silence publie son 400e numéro. Pour cette occasion, un vaste travail collectif débouche sur un numéro spécial doublé d’un livre, qui met en lumière 400 dates de l’écologie. Retour sur les actualités de la revue cette année-là
Plus pragmatique que le mouvement de la décroissance, le mouvement des villes en transition permet-il d’aller plus loin dans le changement de société ? Retour sur la vie de la revue Silence pendant l’année 2010.
Les signes annonciateurs de la fin de la croissance se multiplient et tout le monde, écolos compris, évite d’affronter ce que cela veut dire. D’où des discours divergents mais qui sont tous dans le déni. Si celui-ci est évident pour les tenants de la « croissance verte », l’auteur montre qu’il est aussi (...)
Ces deux pièces de théâtre sont à la fois un outil de luttes et l’expérimentation d’autres façons d’habiter le monde. Dans la première, un bobo parisien s’enfuit dans des communautés isolées. Au fil des lieux et des rencontres, il évolue et finit par se couper entièrement de sa vie précédente. La deuxième (...)
Dans les écoles d’ingénieur·es, de plus en plus d’étudiant·es remettent en cause un enseignement qui ignore les problématiques écologiques d’aujourd’hui. L’autrice, journaliste au Monde, a rencontré des personnes qui ont essayé de faire bouger les choses par des actions au niveau de l’enseignement, lors des (...)
Amalia, son mari, sa fille de 4 ans, sa belle-fille de 17 ans... La première travaille dans une entreprise qui augmente les cadences, le mari dans une boulangerie industrielle, la belle-fille essaie d’être influenceuse sur les réseaux sociaux. Ça s’engueule, ça crie, ça court dans tous les sens... (...)
Difficile à lire du fait d’un vocabulaire universitaire, mais hautement intéressant. Geneviève Pruvost, sociologue, rappelle ce qu’est le féminisme de subsistance, celui qui part de la sphère domestique non monétarisée (ménage, éducation, soins, alimentation, etc.) et comment une part des théoriciennes de (...)
Nous savions déjà que la « transition » dont on nous rebat les oreilles n’est, pour l’essentiel, qu’une vaste fumisterie. Mais grâce au dernier livre de Jean-Baptiste Fressoz, dans lequel il revisite l’histoire des énergies, nous comprenons précisément pourquoi, et c’est passionnant. Entretien avec l’auteur.
Si nous devons aller vers une société plus sobre et plus résiliente, cela ne doit pas se faire en provoquant une augmentation des inégalités sociales… comme le proposent les actuels plans climat liés au maintien de la croissance.
Comment penser des réponses alternatives à la « crise migratoire » présentée par les médias ? Nous publions ici des extraits d’un texte de Miriam Lang, qui propose de s’attaquer à la source du problème, le mode de vie impérial de certains pays du Nord.
La Maison commune de la décroissance est née à la fin de l’année 2017. Il ne s’agit pas d’un bâtiment mais d’un processus collectif. Thierry Brulavoine explique comment a émergé cette initiative et quels sont ses objectifs.
La ville de Grande-Synthe fait figure de laboratoire en termes d’industrialisation, de migration, de pauvreté, mais aussi d’alternatives. À contre courant de plusieurs politiques municipales, la ville de Grande-Synthe soutient des initiatives qui visent à proposer un autre modèle local de société. Entretien avec Béatrice Jaud, qui a fait de cette ville le sujet de son prochain film.
Peut-on, avec peu de moyens, s’installer loin des villes pour vivre selon ses convictions lorsqu’on est une famille, aspirant au bien-être, à la simplicité et au respect des autres et de la nature ?
Charlène Nicolay se définit comme « une mangeuse ordinaire qui se pose des questions sur son alimentation ». Elle s’intéresse aux obstacles au changement et accompagne les personnes et les collectivités qui souhaitent entrer en « transition ». Entretien.