12 731, c’est le nombre de pages soumis à la sagacité du public qui aura la lourde tache estivale d’en prendre connaissance et d’émettre un avis éclairé sur l’éventuelle mise en service du réacteur atomique EPR de Flamanville.
12 731, c’est le nombre de pages soumis à la sagacité du public qui aura la lourde tache estivale d’en prendre connaissance et d’émettre un avis éclairé sur l’éventuelle mise en service du réacteur atomique EPR de Flamanville.
Alors qu’un industriel menace d’empoisonner au plomb la plaine du Rhin, des militant·es des deux rives occupent durant presque six mois le chantier de l’usine.
On le sait depuis de nombreuses années : le capitalisme n’a pas de frontières ni de complexes pour développer ses tentacules et engranger des profits. Un adage qui se renouvelle une fois encore avec la guerre qui se déroule en Ukraine.
Du 2 au 4 juin 2023 ont eu lieu à Lacelle, en Corrèze, Les Queerezienžnes, des rencontres autour du consentement.
Intoxiqués au bitume et humant l’air vicié du temps, élus locaux et responsables politiques convolent en justes noces pour célébrer de nouveaux projets autoroutiers inutiles. Ils comptent les imposer à cette populace rétive à vivre à côté de ce que certains s’acharnent encore à nommer « progrès ».
Pendant 30 ans, le Comité de défense de la gare de Quimperlé tente d’empêcher l’abandon progressif de la gare, notamment en occupant les voies pour arrêter les trains. Le mouvement est repris dans d’autres villes bretonnes, médiatisé mais aussi réprimé. La SNCF cède, et la gare est rénovée en 2014.
En Azerbaïdjan, comme en France, en Uruguay et au Mexique, la sécheresse n’est pas seulement causée par le réchauffement climatique. Lorsque l’on parle du manque d’eau, il est essentiel d’identifier l’une des problématiques premières : l’accaparement par une élite industrielle de cette si précieuse ressource.
En lettres capitales noires sur fond blanc, les collages féministes parsèment les paysages urbains depuis 2019. Au sein de ce mouvement particulièrement massif, femmes et minorités de genre se réapproprient des espaces où leur présence est encore moins légitimée que celle des hommes cisgenres.