Siberlettre
La Siberlettre est la lettre d’information de l’association Silence.
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Les dernières Siberlettres
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février 2020
[Revue Silence] Dépasser les discours de l’effondrement#Siberlettre n° 129 – Mars 2020 #La lettre de nouvelles de l’association Silence #Au sommaire du numéro de mars 2020 //Dépasser les discours de l’effondrement La fin possible/probable de l'habitabilité de la planète n'est pas un sujet anodin. Bien au-delà des milieux écolos, il est devenu des plus populaires, souvent derrière la bannière spectaculaire et vague de "l'effondrement". Nous avons voulu (...) Lire la version archivée
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janvier 2020
[Revue Silence] Le temps de la désobéissance civileSiberlettre n° 128 – Février 2020 La lettre de nouvelles de l’association Silence # Au sommaire du numéro de février 2020 La désobéissance civile La désobéissance civile est une pratique d’action non-violente collective et politique qui a émergé il y a plus d’un siècle. Depuis, elle s’est répandue à travers le monde comme une force de contestation puissante face à des lois ou à des régimes niant les droits (...) Lire la version archivée
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décembre 2019
[Revue Silence] Le soin, c'est communautaire !Siberlettre n° 127 – Janvier 2019 La lettre de nouvelles de l’association Silence Au sommaire du numéro de janvier 2020 #Le soin, c'est communautaire ! Notre système de santé est vecteur d'inégalités en terme d'accès aux soins et de qualité de ces soins, selon notre quartier d’habitation, notre couleur de peau, notre genre ou encore la taille du porte-monnaie. Il donne parfois un pouvoir (...) Lire la version archivée
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novembre 2019
[Revue Silence] Vers des villes sans voitures// Siberlettre n° 126 – Décembre 2019 // La lettre de nouvelles de l’association Silence // Au sommaire du numéro de décembre 2019 # Vers des villes sans voitures L’automobile s’est à ce point imposée comme le véhicule de nos sociétés que son omniprésence dans notre univers quotidien n’est plus guère remise en cause. C’est pourtant tout un "monde" que porte la voiture dans ses bagages. Mais le vent semble (...) Lire la version archivée