L’EPR, un projet Shadokien…
En 2004, Jacques Rouxel, nous quittait. C’était le dessinateur des Shadoks (1), des créatures absurdes par excellence, qui pédalaient toujours pour rien. Aujourd’hui, on en a une parfaite illustration avec le réacteur atomique EPR de Flamanville. La réussite toute relative de l’EPR, alternant surcoûts abyssaux et retards conséquents, nous renvoie à l’un des principaux aphorismes shadokiens affirmant qu’en essayant continuellement, on finit par réussir… ou pas !
En 2004, Jacques Rouxel, nous quittait. C’était le dessinateur des Shadoks (1), des créatures absurdes par excellence, qui pédalaient toujours pour rien. Aujourd’hui, on en a une parfaite illustration avec le réacteur atomique EPR de Flamanville. La réussite toute relative de l’EPR, alternant surcoûts abyssaux et retards conséquents, nous renvoie à l’un des principaux aphorismes shadokiens affirmant qu’en essayant continuellement, on finit par réussir… ou pas !