Le nucléaire, c’est aussi de la bombe
« Devant les perspectives terrifiantes qui s’ouvrent à l’humanité » : après le bombardement nucléaire d’Hiroshima du 6 août 1945, Albert Camus nous enjoignait à « choisir définitivement entre l’enfer et la raison ». C’était il y a bientôt 80 ans. Nous n’avons toujours pas choisi. L’enfer est toujours là, prêt à être déclenché, en quelques minutes. Qu’avons-nous raté ?
« Devant les perspectives terrifiantes qui s’ouvrent à l’humanité » : après le bombardement nucléaire d’Hiroshima du 6 août 1945, Albert Camus nous enjoignait à « choisir définitivement entre l’enfer et la raison ». C’était il y a bientôt 80 ans. Nous n’avons toujours pas choisi. L’enfer est toujours là, prêt à être déclenché, en quelques minutes. Qu’avons-nous raté ?