Je suis malade…
Je souffre d’un « mal de terre » persistant, ce que de bons esprits nomment « éco-anxiété ». J’absorbe chaque jour mon lot de mauvaises nouvelles écologiques et suis supposé m’en réjouir ou me résigner. Me voilà ainsi catalogué parmi les gens à soigner car « malade ».
Je souffre d’un « mal de terre » persistant, ce que de bons esprits nomment « éco-anxiété ». J’absorbe chaque jour mon lot de mauvaises nouvelles écologiques et suis supposé m’en réjouir ou me résigner. Me voilà ainsi catalogué parmi les gens à soigner car « malade ».
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