Elektra : hackeuse, squatteuse et philosophe
À Berlin, un beau jour de printemps. Dans une manifestation pour la protection des données sur internet, une femme aux longs cheveux blancs est allongée sur un vélo bardé de panneaux solaires. Sa pancarte contient un boîtier wifi qui permet, en se connectant, de télécharger son livre, appelé Sérénité. Cette femme, c’est Elektra, membre de l’une des organisations de hackers les plus influentes d’Europe : le Chaos Computer Club. « Je fais partie de l’ancienne génération de hackers, celle qui a connu l’électronique avant l’informatique ».
À Berlin, un beau jour de printemps. Dans une manifestation pour la protection des données sur internet, une femme aux longs cheveux blancs est allongée sur un vélo bardé de panneaux solaires. Sa pancarte contient un boîtier wifi qui permet, en se connectant, de télécharger son livre, appelé Sérénité. Cette femme, c’est Elektra, membre de l’une des organisations de hackers les plus influentes d’Europe : le Chaos Computer Club. « Je fais partie de l’ancienne génération de hackers, celle qui a connu l’électronique avant l’informatique ».