Contrairement à l’idée reçue, la microfinance ne s’adresse pas qu’aux plus pauvres dans les pays dits en voie de développement.
Dans les pays industrialisés, il accompagne à la création, au financement et à l’assurance, des petites entreprises (voire unipersonnelles).
D’autre part, il consent des prêts sans agios aux personnes fragiles ou victimes des accidents de la vie et encourage la microépargne solidaire. En France, l’auteur décortique les expériences menées par le Crédit municipal de
Nantes et de plusieurs CCAS (centres communaux d’action sociale) dont celui
d’Angers et son prêt stabilisé, mais aussi des CAF (caisses d’allocations familiales), et quelques autres coopératives. MD
Éd. Apogée, 2021, 180 p., 15 €
La microfinance sociale de Pascal Glémain
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