Si on plante, c’est qu’on s’est planté
Villes et forêts, deux milieux très différents, voient se déployer la même frénésie : planter des arbres, planter beaucoup et planter vite. Quelles sont les logiques sous-jacentes à ces plantations si contradictoires avec le temps très long des arbres ?
Villes et forêts, deux milieux très différents, voient se déployer la même frénésie : planter des arbres, planter beaucoup et planter vite. Quelles sont les logiques sous-jacentes à ces plantations si contradictoires avec le temps très long des arbres ?
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