De tout temps, il y a eu un rejet des personnes rousses (environ 2 % de la population). Au temps de l’inquisition, la rousseur était considérée comme un signe du diable, pour d’autres, c’était le signe d’une conception pendant les règles… Et cette discrimination se poursuit encoreaujourd’hui comme en témoigne l’autrice et de nombreux exemples contemporains. Il n’y a pas que la couleur de la peau qui compte, celle des cheveux est aussi sujette à rejet par certain·es. Cela peut paraître anecdotique, mais ce livre vous prouvera que non.
Éd. Delcourt, 2021, 112 p, 14,50 €