La science-fiction (éco)féministe
« Notre imaginaire, habité par des rêves d’accumulation et de domination, est un territoire qu’il faut ‘occuper’ », écrit la philosophe spécialiste des écoféminismes Émilie Hache en 2015 dans l’ouvrage collectif Gestes Spéculatifs (1). Elle s’intéresse particulièrement à la science-fiction, et propose d’ailleurs une bibliographie de ce qu’elle nomme « science-fiction écoféministe » en accompagnement du texte Rêver l’obscur de Starhawk (2). Pourquoi ce rapprochement ? Pourquoi cet intérêt pour la science-fiction, et plus largement, pour nos imaginaires ?
« Notre imaginaire, habité par des rêves d’accumulation et de domination, est un territoire qu’il faut ‘occuper’ », écrit la philosophe spécialiste des écoféminismes Émilie Hache en 2015 dans l’ouvrage collectif Gestes Spéculatifs (1). Elle s’intéresse particulièrement à la science-fiction, et propose d’ailleurs une bibliographie de ce qu’elle nomme « science-fiction écoféministe » en accompagnement du texte Rêver l’obscur de Starhawk (2). Pourquoi ce rapprochement ? Pourquoi cet intérêt pour la science-fiction, et plus largement, pour nos imaginaires ?