Vivant dans une ferme isolée, Eva, Nell et leurs parents découvrent que le système économique s’est effondré quand le courant électrique a été coupé. La survie s’organise alors, non sans difficultés. La beauté de la forêt est sublimée par le dessin de l’auteur, mais par rapport au livre, on perd beaucoup de la notion du temps, de la lenteur que provoque cette décroissance subie.
Éd. Sarbacane, 2019, 160 p., 24,50 €