Le but ultime de notre société capitaliste serait de désigner la mort comme un échec, une maladie que l’on ne serait pas parvenu à éradiquer, niant en cela les aspects les plus ontologiques de la vie, à savoir les cycles nécessaires, les transformations et l’effacement ultime afin que d’autres naissent. Le transhumanisme voudrait mettre à mal ce cercle vertueux et nécessaire. Jacques Luzi tire la sonnette d’alarme : notre condition de mortel·les n’est pas à vendre !
Éd. La Lenteur, 2019, 128 p., 12 €