Le wwoofing permet de passer quelques semaines à aider sur des fermes biologiques. Ce mouvement s’est développé aujourd’hui dans le monde entier. Après un bref historique du mouvement et les engagements pour celui qui reçoit comme pour celui qui vient aider, l’auteur raconte ses expériences. Alors qu’il est dit que le wwoofing doit sensiblement correspondre à l’échange d’un mi-temps contre la nourriture et le logement, les exemples donnent l’impression d’un travail très intensif. Si la motivation peut le permettre, cela ne doit toutefois pas être une obligation.
Éd. Terre Vivante, 2018, 96 p., 10 €