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silence377.pdf
Féminisme et politiques territoriales : où en est-on ?
Et les associations féministes dans tout ça ?
Une élue dans la ville
Communiquer en toute égalité : un défi politique encore peu relevé
Les faucheurs se ramassent à l’Appel (d’André Croutant)
Aousserd, c’est où ça ? (de Jean-Pierre Lepri)
De plus en plus de voix pour l’abandon du projet d’aéroport (de Geneviève Lebouteux)
Le B-A-Ba du jardinage de Buch-à -Barbiche, le paysan écolo (de Jonvon Nias)
Un avenir incertain (de Michel Bernard)
La contestation par le potager (de Madeleine Nutchey)
Apprendre la non-violence (de Yvette Bailly)
Artistes de jardin (de Marc Pouyet)
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Marche pour la Palestine
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Que fait le pouvoir politique pour agir contre les inégalités, les violences, les discriminations qui pèsent lourdement sur les femmes ainsi que sur les personnes qui se réclament d’une autre identité de genre ou d’orientations sexuelles divergentes de la norme ?
Silence a souhaité recueillir les témoignages d’élu-es sur ce qu’il leur est possible de faire et quelles alternatives ils et elles mettent en place. Force est de constater que la moisson est plus que faible… N’y aurait-il pas d’« élu-es d’un autre genre », d’élu-es préoccupé-es par les questions liées au genre et aux rapports de domination qui lui sont liés ? Au-delà des discours, des mesurettes et de la langue de bois, la question se pose réellement.
Nous avons, malgré tout, cherché à présenter un certain nombre d’initiatives, aussi limitées soient elles, menées par des institutions sur le sujet. Avec quelques questionnements sur les limites de cette approche de la question « par le haut ».
Mais, dans un contexte où c’est également la lutte des femmes « par le bas » qui bat de l’aile et peine à s’unir, par où commencer et comment agir pour faire changer l’économie et la culture du sexisme institutionnalisé ? A notre époque, où cette domination tend à être niée par beaucoup d’hommes et de femmes elles-mêmes, et sans attendre des élu-es d’un nouveau genre, il semble nécessaire de revenir sur la question.
Guillaume Gamblin