Pendant 30 ans, le Comité de défense de la gare de Quimperlé tente d’empêcher l’abandon progressif de la gare, notamment en occupant les voies pour arrêter les trains. Le mouvement est repris dans d’autres villes bretonnes, médiatisé mais aussi réprimé. La SNCF cède, et la gare est rénovée en 2014.