Associer la permaculture, l’agroécologie, l’accueil touristique, la formation… le tout dans une ferme magnifique disposant de 58 hectares, c’est le projet d’un groupe récemment constitué autour d’un accueil touristique pré-existant.
Associer la permaculture, l’agroécologie, l’accueil touristique, la formation… le tout dans une ferme magnifique disposant de 58 hectares, c’est le projet d’un groupe récemment constitué autour d’un accueil touristique pré-existant.
Un collectif s’est lancé début 2017 dans un projet de ferme bio urbaine, avec un pôle pédagogique et culturel. Une démarche engagée en faveur de la résilience des grandes métropoles.
L’été 2017, les Ami·es de Silence se sont retrouvé·es sur le terrain du Cap de la Terre, où s’expérimentent permaculture, arboriculture et éducation populaire. Une initiative née de la volonté de jeunes étudiant·es.
La spiruline, algue bleue que l’on trouve naturellement dans certains lacs, est très riche en protéines. Elle représente une alternative à la viande, ici ou dans des pays où la sécurité alimentaire n’est pas assurée. Depuis une trentaine d’années, Gilles Planchon mène des actions en faveur d’une production locale et écologique.
Née au sein d’une AMAP de Reims, l’Ecole des jardiniers a pour but de permettre à chacun-e d’apprendre à faire son jardin… Outre des stages de formation, sa principale activité consiste à produire des légumes dans un cadre social.
Xavier Deleau pourrait être seulement maraîcher bio. Trop simple ! Il est aussi un militant actif dans de nombreux domaines.
Rémi Seingier et Claire Bertrand s’installent dans la ferme familiale avec un projet d’agroforesterie et de plantes aromatiques, tout en visant une reconversion en agriculture biologique.
Depuis 2000, dans un triangle coincé entre les lignes de TGV, Agnès Sourisseau mène une expérience de régénération des sols en comparant de multiples techniques.
Partis à la rencontre des « néo-paysans », Gaspard et Lucile nous font rencontrer cinq jeunes qui se sont associés dans une activité de cueillette et de récolte. Une organisation collective qui leur a permis de s’installer plus facilement et de se dégager du temps.
Le documentaire Mauvaises Herbes, sorti en mars 2018, nous emmène à la rencontre de celles et ceux qui font vivre une culture tout aussi ancestrale que conviviale : la récolte et la cuisine des plantes sauvages. Entièrement auto-produit par les deux réalisatrices, il raconte leur voyage initiatique en Grèce, aux côtés des personnes qui incarnent ces savoir-faire paysans et cette cuisine si subtile et enthousiasmante.