Et si on miniaturisait les centrales nucléaires ? Et si on les transformait en produit industriel de série pour les vendre comme des autos ou des smartphones ? Ce rêve, ou plutôt ce cauchemar, c’est celui du petit réacteur nucléaire.
Et si on miniaturisait les centrales nucléaires ? Et si on les transformait en produit industriel de série pour les vendre comme des autos ou des smartphones ? Ce rêve, ou plutôt ce cauchemar, c’est celui du petit réacteur nucléaire.
En 2004, Jacques Rouxel, nous quittait. C’était le dessinateur des Shadoks (1), des créatures absurdes par excellence, qui pédalaient toujours pour rien. Aujourd’hui, on en a une parfaite illustration avec le réacteur atomique EPR de Flamanville. La réussite toute relative de l’EPR, alternant surcoûts abyssaux et retards conséquents, nous renvoie à l’un des principaux aphorismes shadokiens affirmant qu’en essayant continuellement, on finit par réussir… ou pas !
12 731, c’est le nombre de pages soumis à la sagacité du public qui aura la lourde tache estivale d’en prendre connaissance et d’émettre un avis éclairé sur l’éventuelle mise en service du réacteur atomique EPR de Flamanville.