Et si on miniaturisait les centrales nucléaires ? Et si on les transformait en produit industriel de série pour les vendre comme des autos ou des smartphones ? Ce rêve, ou plutôt ce cauchemar, c’est celui du petit réacteur nucléaire.
Et si on miniaturisait les centrales nucléaires ? Et si on les transformait en produit industriel de série pour les vendre comme des autos ou des smartphones ? Ce rêve, ou plutôt ce cauchemar, c’est celui du petit réacteur nucléaire.
12 731, c’est le nombre de pages soumis à la sagacité du public qui aura la lourde tache estivale d’en prendre connaissance et d’émettre un avis éclairé sur l’éventuelle mise en service du réacteur atomique EPR de Flamanville.