A Carcassonne, après avoir connu la dérive industrielle et la reprise en main par un fonds de placement, une fabrique de glaces a été rachetée par une partie de ses salariés et continue sous forme de coopérative.
A Carcassonne, après avoir connu la dérive industrielle et la reprise en main par un fonds de placement, une fabrique de glaces a été rachetée par une partie de ses salariés et continue sous forme de coopérative.
Un véritable essaimage d’expériences indépendantes d’éducation populaire, sous forme de SCOP (1) ou d’associations 1901, ont fait leur apparition au cours des quinze dernières années. L’exemple du Contrepied, en Bretagne, est significative de cette nouvelle génération.
Agir pour l’environnement, cela peut se faire au quotidien : en utilisant des matières naturelles, en les transformant, en se réappropriant des savoir-faire et en les transmettant par l’échange. Faire soi-même rend acteur et moins dépendant du système. C’est aussi souvent plus économique, meilleur pour votre santé et pour la planète.
Devenir végéta*ien est un cheminement. Il faut savoir se laisser du temps, parvenir à identifier clairement ce qui nous empêche d’y accéder et le dépasser.
Jusqu’à maintenant, à chaque exploitation d’une nouvelle forme d’énergie, nous en avons toujours profité pour consommer plus. Cela peut-il s’arrêter avec l’arrivée massive des énergies renouvelables ?
Comme ailleurs, les luttes des années 1960 ont fait émerger à la Réunion un bouillonnement culturel, politique, militant et associatif. Les victoires des décolonisations connectent les Réunionnais aux rêves du monde entier, une histoire alternative (1) et un projet d’autonomie sont revendiqués. Mais ce modèle de développement local original, pensé par les militants (2) est aujourd’hui en panne…
Une petite île tropicale apparaît comme un territoire rêvé pour mettre en place des filières courtes et favoriser la vente directe du producteur au consommateur des produits alimentaires. Mais qu’en est-il à la Réunion ?
Et si la résistance revêtait ces deux aspects : une œuvre d’art vivante, incarnée par des citoyens dans un élan collectif ?
C’était le bassin de la potasse. Nord-ouest de Mulhouse. La plaine d’Alsace s’étale aux pieds des Vosges. Aujourd’hui Jean-Claude Mensch, ancien mineur, 69 ans, maire d’Ungersheim depuis 1989, montre l’exemple de la transition vers une société décarbonée. En commençant par la piscine construite par ses prédécesseurs, chauffée à l’électricité nucléaire. Le maire étudie alors plusieurs solutions, avant de choisir le chauffage solaire.
En novembre 2015, Silence a publié une grande affiche couleur intitulée « 100 dates qui construisent nos luttes féministes aujourd’hui ». Chaque mois, cette chronique permet de revisiter une date du féminisme.
TEPCO envisage d’évaporer l’eau radioactive à raison de 400 m3 par jour en relâchant la vapeur à haute température (autour de 1000°C). Outre la consommation d’énergie énorme que l’opération nécessite, cela ne détruit pas la radioactivité. Ce serait tellement simple si on pouvait la brûler !
Faute de trouver (...)
Le 6 janvier 2016 la Corée-du-Nord a procédé à un nouvel essai nucléaire, le quatrième, annoncé comme une explosion de bombe H. Cette dernière permet d’atteindre des puissances explosives très supérieures à la bombe A, à uranium ou plutonium. En fait, cette explosion a été moins puissante que les (...)
L’ex-hôpital Saint-Vincent-de-Paul, encore l’une des plus grandes maternités de Paris il y a quelques années, est désormais un « lieu d’occupation éphémère ».
En novembre 2015, Silence a publié une grande affiche couleur intitulée « 100 dates qui construisent nos luttes féministes aujourd’hui ». Chaque mois, cette chronique permet de revisiter une date du féminisme.
En ce printemps 2016, un calendrier électoral particulièrement chargé a réuni devant les urnes plusieurs états africains dont un certain nombre de régimes clés de la « Françafrique ».
Si au Bénin et au Niger, les « candidats de la France » ont connu des destins contrastés (défaite de l’ami de Fabius, Lionel (...)
Les inondations de début 2018 prouvent encore une fois les limites du tout-béton. Les digues, les bassins artificiels de rétention, les berges bétonnées ont certes leur utilité, mais elles coûtent cher, pour des résultats souvent mitigés. Et si le bon sens consistait à retrouver des « solutions vertes » pour vivre avec l’eau ?
Et si demain, les voitures roulaient grâce à des panneaux solaires embarqués sur le véhicule ?
Suite à la troisième rencontre de l’Assemblée féministe transnationale qui s’est tenue le 27 janvier 2024 à l’EHESS à Aubervilliers, ce réseau d’auto-éducation féministe tisse une toile de solidarités dont l’entraide et la lutte se veulent être les fers de lance contre l’impérialisme.
Alors que le patriarcat sévit en Europe et se matérialise par de nombreux féminicides chaque année, l’Espagne avance sur ses questions.